Psychiatrie punitive en URSS

La psychiatrie punitive en URSS était un système utilisé pour emprisonner les dissidents dans les hôpitaux psychiatriques, appelés psikhouchka (психушка en russe), souvent sous le diagnostic de « schizophrénie torpide »[1] ou « schizophrénie latente »[2], « schizophrénie larvée »[3], « schizophrénie lente », « schizophrénie stagnante »[Note 1]. Certaines sources, datant de 2007-2009, signalaient que la pratique de l'abus de l'internement psychiatrique a toujours lieu dans la Russie contemporaine[4],[5],[6].

  1. Docteur Jean Garrade, « L'éthique : de la recherche à la pratique », sur psydoc-fr.broca.inserm.fr,
  2. Cécile Vaissié, Pour votre liberté et pour la nôtre, Paris, Robert Laffont,
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  4. Elena Vassilieva, « Larissa Arap, membre de l'opposition russe, serait internée en hôpital psychiatrique », Le Monde, AFP et Reuters,‎ (lire en ligne)
  5. Virginie Pironon, « Vers un retour des goulags ? »,
  6. (ru) en mars 2009. Retour à la psychiatrie punitive ou nécessité de soigner ?Возвращение карательной психиатрии или необходимость лечиться? — les blogeurs discutent de l'enfermement de Vadim Tcharouchev


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